Dans les années 1950, le courant de l’art optique émerge et révolutionne les nouvelles modalités de perception. Leurs œuvres, véritables jeux ludiques ou interactifs, exploitent les facultés biologiques du corps humain – dynamisme rétinien, accélérations optiques, détournement du regard – et font appel aux différents sens par des jeux de lumière ou des œuvres manipulables, pénétrables, sonores.

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